Le 26 mai 2020, le médecin hygiéniste en chef a publié une directive mise à jour #2 pour permettre pour la reprise progressive des services de santé accompagné d’un document d’orientation intitulé «Exigences opérationnelles liées à la COVID-19 : redémarrage du secteur de la santé». Les fournisseurs de services de santé doiventse conformer à ce document pour pouvoir reprendre leurs services.
Le Collège a initialement publié ses lignes directrices le 22 mai 2020 avant la publication du document. . Les directives de l’Ordre ont adopté une approche de précaution sur la base des informations disponibles. Toutefois les exigences opérationnelles liées à la COVID-19 définissaient des approches de soins en fonction du fait qu’un patient soit testé négatif ou positif pour la COVID-19. Par conséquent, le Guide de retour à la pratique pour les TDR de l’Ordre a été mis à jour pour tenir compte de ces changements.
L’Ordre continuera de mettre à jour ces lignes directrices au fur et à mesure que de plus amples renseignements seront disponibles. Un historique des révisions à la fin du document décrira les dates des révisions et les principaux changements. Les principaux changements apportés à cette révision sont les suivants :
- Conseils supplémentaires dans la section Soins aux patients en fonction d’un patient qui fait l’un de ses dépistages ou dont le test de dépistage de la COVID-19 est négatif ou positif
- Ajout du tableau 1 dans la section de l’équipement de protection individuelle, qui établit l’utilisation de l’EPI par réglage et procédure en fonction d’un dépistage ou d’un test négatif ou positif pour la COVID-19 par un patient.
- Modifier la section sur les procédures génératrices d’aérosols, les directives ne s’appliquent désormais que lorsqu’il s’agit d’une prothèse ou d’un appareil dentaire ou d’un article qui a été en contact direct avec des patients qui ont subi un dépistage ou un test positif à la COVID-19
- Lignes directrices supplémentaires dans la section Dépistage pour inclure la recommandation du CMOH selon laquelle le personnel effectuant le dépistage des patients et des visiteurs essentiels se trouve idéalement derrière une barrière physique.
